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vendredi 13 décembre 2019

Le bitcoin, la plus grande arnaque de ces 10 dernières années !


Le 3 janvier 2009 , le premier bloc ou bloc genesis est créé. En février 2009, il diffuse la première version du logiciel Bitcoin sur le site P2P Foundation et pour faire fonctionner le réseau, il met à contribution son ordinateur et engendre ainsi les premiers bitcoins.
Le bitcoin est une monnaie virtuelle permettant de faire des transactions financières sur internet.
Au début, le bitcoin n'avait aucune valeur jusqu'au jour où quelqu'un accepta de vendre 2 pizzas pour 10.000 bitcoins.
Il y a seulement 2 bonnes raisons d'acheter des bitcoins :
1) Pour acheter des produits illégaux sur le Darknet via le logiciel Tor.
2) Pour faire de la spéculation sur cette crypto-monnaie.

Le problème, c'est que si vous pouvez gagner de l'argent en spéculant, vous pouvez en perdre aussi beaucoup. Soit parce que le cours du bitcoin aura baissé, soit parce qu'une plateforme où vous aurez placé vos bitcoins aura fermé (cela arrive souvent et vous n'avez aucun recours contre ça).
Il est important de comprendre que l'une des règles de cette monnaie est qu'il n'y aura jamais plus de 21 millions de bitcoins créés.
La 2ème règle est que le nombre de bitcoins qui peuvent être minés simultanément sera divisé par deux tous les 4 ans.
Qu'arrivera t’il si une tonne de machines à miner ne sont plus rentables et sont débranchées et causent d'énormes liquidations ?
Ça pourrait faire chuter le prix.
Cela ressemblerait à l'éclatement de la bulle internet en l'an 2000.
De nombreuses faillites en perspective.
Vous devez garder à l'esprit qu'une monnaie virtuelle n'offre aucune garantie, ni de la part d'un État, ni de la part d'une société privée. Le cours peut monter aussi vite qu'il peut descendre. Contrairement à l'or ou l'argent, les monnaies virtuelles ne sont basées sur rien de concret.
Il s'agit avant tout d'un produit de spéculation, encore plus hasardeux que la bourse et vous ne devrez pas pleurer quand le crash du bitcoin arrivera. Vous êtes prévenu !

Je pense que vous aurez compris que je ne vous encouragerais pas à acheter de la crypto-monnaie (ou à la limite un peu de Licra).
Il existe aujourd’hui de nombreuses crypto-monnaies mais il est préférable d’investir dans l’or, c’est la monnaie la plus sûre et sans-doute la plus ancienne de notre histoire.

Le bitcoin : l’arme secrète des banques pour tuer l’or ?
Réflexions par Anthony Alberti le 21 décembre 2017
Selon certains économistes, l’engouement pour le bitcoin aurait été favorisé par le milieu bancaire pour écarter l’or et l’argent face aux différentes crises de ces 10 dernières années.
Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui pensent que le bitcoin a attiré tous les investisseurs qui, normalement auraient dû se tourner vers les métaux précieux pour contrecarrer les manipulations des banques et reprendre la main sur leur capital. Franchement, y voir une coïncidence au sortir de la plus grosse crise financière de ces 50 dernières années semble bien naïf. Évidemment, le phénomène bitcoin n’est pas né du hasard et le timing apparaît particulièrement bien tombé pour permettre une reconstitution rapide des centaines de milliards de dollars-dettes perdus dans la bataille des subprimes.
Des faits troublants
On pourrait s’étonner par exemple qu’à l’heure où plus rien ni personne ne saurait rester masqué grâce à l’interconnexion de tous les réseaux à travers le globe, on n’arrive toujours pas à savoir précisément qui a inventé le bitcoin. On pourrait également trouver curieux que la NSA se retrouve impliquée à un moment ou à un autre du processus, même si on a tenté de faire oublier ce détail. Pour rappel, un rapport très complet publié par l’agence en 1997 et intitulé « How to make a mint : The cryptography of anonymous electronic cash » détaillerait tout l’écosystème du Bitcoin en allant même jusqu’à évoquer les risques de blanchiment d’argent. Je vous laisse trier le bon grain de l’ivraie autour de cette histoire grâce à notre ami Google qui en sait de toute façon bien moins que ce qu’on aimerait qu’il nous en dise.
Enfin, on pourrait s’interroger sur l’engouement premier des institutions bancaires et politiques pour ce qui aurait au contraire dû, au mieux les laisser indifférents, au pire les inquiéter.
Des autorités étrangement favorables… au début
Ainsi, alors que l’économiste reconnu Milton Friedman appelait lui-même de ses vœux la création d’une monnaie virtuelle permettant de réaliser des transactions anonymes sur Internet (en gros, la porte ouverte au cyber-crime organisé), on voit apparaître dès le mois d’octobre 2012 (en pleine crise de l’euro) un rapport de la Banque Centrale Européenne sur les monnaies virtuelles qui compare finalement le bitcoin au cash en n’y voyant ni plus ni moins d’avantages ou d’inconvénients.
De leur côté, les Américains ne sont pas en reste et, en octobre 2013, quelques jours à peine après que l’Allemagne a octroyé au bitcoin le statut officiel de monnaie privée, Ben Bernanke, président de la Réserve fédérale des États-Unis, adresse une lettre à un comité du Sénat dans laquelle il présente le Bitcoin comme un système de paiement rapide, sûr et efficient. En novembre de la même année, la FED en remet une couche en accompagnant cette fois ses avis positifs par l’aval du Département Américain de la Justice qui qualifie alors le bitcoin de monnaie « légitime ».

Vous aurez sans doute compris que le bitcoin a été la plus grande arnaque de ces 10 dernières années.

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vendredi 21 juin 2019

La nouvelle monnaie de Facebook n'a rien à voir avec le bitcoin

Facebook va lancer sa monnaie virtuelle (le libra). On pourras ouvrir un compte sur Facebook et disposer d'une carte visa. Cela devrait faciliter la vie de nombreux utilisateurs pour recevoir de l'argent par exemple. 


Le libra ne seras pas spéculatif comme le bitcoin, il sera adossé à de vrais monnaies et il est déjà soutenu par plus de 100 grandes entreprises. Bref, le libra sera une véritable monnaie, bien que virtuelle, que l'on pourra utiliser partout dans le monde sans perdre au change d'une monnaie classique. Voir la vidéo sur Boursorama.

Alors que le bitcoin était marginal et utilisé que par quelques individus, la nouvelle monnaie de Facebook va sans doute être utilisé par plus de la moitié de la planète pour toutes les transactions possibles et imaginables grâce notamment à ses partenaires Visa et PayPal.

Pour la première fois depuis la présentation du libra en juin dernier, David Marcus, l’architecte et le chef d’orchestre de la monnaie numérique pour Facebook, a ouvert la porte à une modification substantielle du projet initial. À l’origine, le libra est pensé pour être adossé à une réserve mélangeant un panier de solides devises (dollar, euro, livre sterling, yen, dollar singapourien) et des obligations d’États, sur la base d’un libra pour une unité de réserve. Cette réserve hybride était présentée comme la garantie d’une plus grande stabilité pour la nouvelle monnaie digitale.
De manière à rassurer et garder un cours stable, à chaque achat de ce stablecoin, la fondation adossera en réserve l'équivalent en titres gouvernementaux ou en devises.

Le libra sera lancé en 2020.

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mercredi 6 février 2019

La banque en ligne Neteller

Si vous parlez français, cliquez sur le lien suivant : https://www.neteller.com/fr
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Mon expérience avec Neteller
J'ai utilisé Neteller pendant des années, notamment lorsque j'étais aux Philippines, mais aussi en France. Et je dois dire que les frais de retrait dans les ATM sont beaucoup plus intéressants avec cette carte bancaire MasterCard plutôt qu'avec les cartes bancaires françaises (MasterCard ou Visa).
Quant aux paiements chez les commerçants avec la carte bancaire Neteller, ils sont sans frais où que vous soyez dans le monde.
Je dirais donc que si vous êtes en France, il vaut mieux utiliser votre carte bancaire d'une banque française.
Mais lorsque vous êtes en dehors de la France, comme en Asie par exemple, il vaut mieux disposer de la carte Neteller que ce soit pour payer vos achats ou pour faire des retraits dans les distributeurs de billets.

Thierry Cumps

Qui je suis ?
Je suis pour l'égalité hommes - femmes et la liberté.
Je suis contre la torture des animaux, l'esclavagisme et le terrorisme.

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cumps.association@gmail.com
Je suis blogueur et je travaille au sein d'une association que j'ai créé.
Je possède de nombreux blogs liés à mes passions : l'écriture, l'informatique, la photographie, les voyages et la sécurité entre autres.
Comme je publie régulièrement de nouveaux articles sur mes blogs, ceux-ci reçoivent de nombreuses visites.
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N'hésitez pas à me contacter pour en discuter.


CUMPS (association d’aide grâce à l’outil Internet)

Association loi de 1901
Siège social : 4 rue Charles-Emile Paris – 93350 Le Bourget
L’association CUMPS vous aide à être visible sur internet et combat toutes formes de criminalité sur internet.
Nous avons l’ambition d’aider les gens et de créer des centres de formation un peu partout dans le monde.
Déclarée à la Préfecture de la Seine-Saint-Denis sous le numéro W931008835.
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